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Je me sens concerné·e

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Témoignages

je me sens concerné·e

Léo, 25 ans

Vous contacter aujourd’hui est la première étape vers un changement et permet de poser des limites claires. Je sais qu’on ne peut pas guérir de cette attirance mais j’ai le désir qu’elle prenne moins de place dans ma vie. Je souhaite également me détacher de cette image de monstre qui me pèse au quotidien alors que jamais je ne pourrais faire de mal à un enfant.

Jane, 30 ans

Personne ne décide d’être comme ça. Croyez-moi, je voudrais plus que tout ne pas être attirée par les enfants. Je me dégoûte et j’en dors pas la nuit. En plus je suis une femme. Je vois partout des services pour hommes mais une femme pédophile, ça ne semble tout simplement pas exister. Même les personnes à qui je me confie pense que je blague. J’ai besoin d’un espace ou je suis puisse parler de mes préoccupations.

Paul, 32 ans

Je suis heureux, voire soulagé, d’apprendre qu’il existe une association comme la vôtre pour les personnes qui souffrent de déviances sexuelles envers des mineur(e)s. […] Je sais également qu’on ne peut guérir de la pédophilie, mais si je pouvais trouver un jour un moyen de gérer celle-ci, je vivrais déjà plus en paix avec moi-même et mon esprit.

Jacques, 57 ans

 Il y a 4 ans, j’ai été confronté à plusieurs décès dans mon entourage et à la perte d’un emploi. C’est à ce moment-là que j’ai sombré dans l’alcool et la drogue. Durant cette période de dérives, j’ai également consommé de la pédopornographie. Aujourd’hui, j’ai réussi à arrêter toutes ces addictions mais je me sens encore extrêmement mal vis-à-vis de ma consommation de pédopornographie. Je souhaite comprendre ce qui m’a amené à en consommer et m’assurer que je ne rechuterais pas. Surtout que je ne suis pas attiré sexuellement par les enfants !

Claude, 46 ans

Jusqu’à présent, j’étais toujours rester dans le déni en ce qui concerne ma consommation de contenu. Puis je n’arrive plus à me détacher de mon ordinateur. Je ne savais pas vers qui me retourner pour trouver de l’aide. Contacter DIS NO m’a permis de me libérer et de trouver une aide adaptée à ce que je vivais. 

Je connais une personne concernée

Clara, 28 ans

Je suis au courant depuis longtemps que mon compagnon est attiré par les filles bien plus jeune que lui. Mais récemment j’ai découvert dans son ordinateur un dossier avec des images pédopornographiques. Ces images ont été un choc pour moi ! Je ne sais plus quoi penser. J’aimerais fonder un avenir avec lui, mais j’ai peur. Il a dit se faire suivre par un psy et qu’il n’est pas à risque de passage à l’acte dans la vraie vie mais puis-je le croire […] Je ne sais plus quoi faire aidez-moi […] J’ai aussi très peur de détruire sa famille si celle-ci l’apprenait.

Léna, 20 ans

 Je suis soulagée d’avoir pu enfin en parler à quelqu’un car j’osais pas en parler à mon entourage. J’ai trop peur qu’ils prennent mon frère pour un monstre alors que je suis persuadée qu’il ne fera jamais aucun mal à un enfant. 

Marianne, 40 ans

Je vous contacte car mon copain fait l’objet d’une instruction pour consommation de pédopornographie. Cette interpellation a été un choc pour moi, j’ai l’impression que mon monde s’est écroulé. Je ne comprends pas comment il a pu faire une chose pareille !!! Je n’ai personne à qui en parler car j’ai trop honte de ce qu’il a fait, je n’ose pas le dire à mes amis. Je souhaite aujourd’hui en parler avec un psychologue.

Esther, 51 ans

J’ai longtemps gardé pour moi les raisons de l’interpellation de mon fils. Ça m’a fait du bien de pouvoir en parler à quelqu’un de neutre et d’entendre que je ne suis pas fautive de ses actes.

Eleanor, 32 ans 

Bonjour, Je tenais à vous écrire pour vous remercier. Mon époux a pu trouver l’aide qu’il lui convient. Après cette crise, nous sommes soulagés et reconnaissants. Encore merci.

Professionnel·le·s

Madeline, conseillère en santé sexuelle

C’est la première fois que je me retrouve face à ce genre de problématique. J’ai l’habitude par mon métier de parler de sujet tabou mais là je ne sais pas je me sens démunie. J’ai besoin de pouvoir parler de cette situation à des professionnelles qui la connaissent et qui puisse m’aiguiller sur la posture à adopter. Merci de votre aide.

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